FOOTBALL: Nice fait le job en Coupe de France

Face à une équipe de Nîmes qui avait mis 8 titulaires au repos, l’OGC Nice a fait le job en Coupe de France en battant les locaux par 3 buts à 1.

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Après une victoire 2 à 0 en championnat, toujours aux Costières, le Gym décidément aime les équipes qu’elle a déjà battues (cf. Angers).

2 buts de Rony Lopez !

Du côté niçois, Claude-Maurice et Boudaoui avaient été laissés au repos en prévision des gros matchs qu’attend le Gym, à Paris et à Marseille. Le match a été plié en un quart d’heure avec deux buts d’un joueur qui n’avait guère brillé jusqu’à maintenant, Rony Lopez. Ce dernier semble revivre et Nice aura bien besoin de toutes ses forces alors que le club n’est pas épargné par les blessures de cadres indispensables comme Dante, Reine-Adelaïde ou Dolberg. Le score a été clôturé à la 82ème minute par le capitaine, Lees-Melou qui a fait encore preuve d’une belle activité. Entre-temps, les crocodiles avaient marqué un but par le Bosniaque, Duljevic sur un bon centre de… Burner, un ancien Niçois, qui a devancé une fois encore Nsoki même si ce dernier a évité les relances hasardeuses dont il a le secret…

Des satisfactions avant Paris et l’OM

Décidément, les anciens azuréens apprécient de se rappeler au souvenir de leur ancien club. N’est-ce pas Baysse ? En championnat, Nice semble distancé pour les places européennes mais pourrait faire de la coupe de France un objectif pour retrouver la joie des joutes européennes. Il reste 5 matchs à gagner car une défaite en finale n’est plus synonyme de qualification, le championnat ayant la priorité. Au rayon des satisfactions niçoises, notons la grande disponibilité de Gouiri qui retrouve son meilleur niveau, la solidité de Saliba qui n’est plus à prouver bien qu’il ait subi une attaque assez ignoble sur les réseaux sociaux, et enfin, Schneiderlin que l’on n’avait pas vu aussi impliqué et sûr depuis un bon moment. Nice enchaîne une 2ème victoire d’affilée, ce qui ne lui était plus arrivé depuis le 1er novembre dernier. Pourvu que ça dure…

Pascal Gaymard

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