Il aura fallu l’intervention d’Elon Musk pour que l’affaire se médiatise enfin et qu’on en parle…
Un scandale d’État
C’est un véritable SCANDALE d’ÉTAT et Elon Musk a raison de demander des comptes au 1er ministre actuel, le travailliste, Keir Starmer, qui selon le patron du réseau social X, aurait été le responsable du service du procureur (CPS) pour les graves délits comme des viols à l’époque des faits. Sans la saisine du CPS, la police d’une municipalité ne peut procéder à des inculpations et à l’arrestation des suspects… Voici les faits : Durant 30 ans, entre 1980 et 2010, des milliers de jeunes filles ont été violées par des gangs de Pakistanais qui pratiquaient le « grooming » en anglais ou « pédopiègeage » en français. Il s’agit d’effectuer un chantage odieux sur des jeunes filles de classe ouvrière, âgées en moyenne de 12 à 13 ans. Concrètement, si elles ne se prostituaient pas à des Pakistanais, les gangs menaçaient de tuer leurs proches, de mettre le feu à leur maison et de torturer leurs parents. Les victimes se taisaient donc et obtempéraient…
30 ans de viols non dévoilés
L’affaire ne sera révélée qu’en 2017 sous le titre : « Les viols de Telford ». A l’époque, on parle de plus de 1400 jeunes filles de la classe ouvrière britannique qui ont été mises en esclavage sexuel par des gangs de Pakistanais. Cela s’est reproduit dans plusieurs villes anglaises, à Rochdale, Rotherham, Oldham… Si Elon Musk a décidé d’intervenir, c’est que le 3 janvier dernier, la sous-secrétaire d’Etat à la protection contre la violence faites aux femmes et aux filles, Jess Phillips, a REJETÉ une demande d’enquête publique sur le « grooming » des enfants de Oldham sur des motifs fallacieux : c’est au conseil municipal d’Oldham d’appeler l’intervention du gouvernement… Mais lorsque le CPS ne répond pas et classe l’affaire, que faire ? Elon Musk a donc logiquement appelé le Roi Charles III à dissoudre le Parlement qui selon lui s’était rendu complice d’une décision indigne.
Laxisme pour les Pakistanais
Qu’aurait fait Jess Phillips si les jeunes filles qui subissent ces infâmies étaient issues de sa famille ? Aurait-elle pris la même décision ? Alors pourquoi un tel silence si longtemps ? Pour que le peuple ne le sache pas, pour qu’il reste calme…? Car on l’a vu dernièrement, lorsque 3 fillettes ont été attaquées au couteau à Southport par un jeune migrant probablement islamiste, cela a mis le feu aux poudres, le peuple britannique s’est soulevé et a attaqué un foyer de voyous migrants notamment à Rotherham. Il s’agit de se souvenir des déclarations du 1er ministre britannique, Keir Starmer : « Tout ce qu’il faut faire pour traduire ces voyous en justice aussi vite que possible sera fait… Ceux qui ont participé à cette violence seront confrontés à la pleine force de la loi ». Les Pakistanais dont certains bien identifiés sont, eux, malheureusement toujours en liberté.
La responsabilité de Keir Starmer et de son gouvernement
Dès lors, des milices islamistes s’étaient alliées à la police pour poursuivre les émeutiers. Des policiers ont même assuré à ces miliciens qu’ils ne feraient pas de poursuites ou de perquisitions dans les mosquées. Cela a été l’une des répressions les plus sanglantes de l’histoire britannique, un mois seulement après la prise de fonction en juillet 2024 du 1er ministre, Keir Starmer. Pourquoi n’a-t-il pas été aussi prompt à effectuer de telles déclarations à propos des viols de milliers de jeunes filles à Rotherham ? Outre Elon Musk, JK Rowling (Harry Potter) et la cheffe du parti conservateur, Kemi Badenoch ont exigé la lumière sur horribles méfaits. Nul doute que la ministre de l’Intérieur, Yvette Cooper, aura la même célérité, elle qui à propos des émeutes, avait qualifié ces actes de « tout à fait effroyables ». On attend ses déclarations et sa qualification sur ces horreurs commises par les Pakistanais…
Un témoignage parmi d’autres…
Enfin, lors du délibéré de procès, trois ans plus tard, Alice, l’une des fillettes de 13 ans à l’époque des faits, n’était plus la petite fille brillante, intelligente, gentille qui faisait l’honneur de ses parents. Inséparable de son petit frère, elle faisait tout avec lui. « Elle a été violée des dizaines de fois durant 2 ans et demi et forcée à se prostituer à des dizaines d’hommes pakistanais ». Ses bourreaux l’avaient menacée qu’ils tueraient son petit frère et qu’ils brûleraient sa maison… Sa mère a témoigné : « Il ne reste plus rien d’elle… Elle a perdu son âme ! ». Elle souffre de crises d’anxiété, de dépression, de stress post traumatique et souhaite mettre fin à ses jours le plus rapidement possible… Voici comment expliquer le « vivre ensemble » à la sauce britannique de Keir Starmer qui n’a pas de mots assez forts pour condamner les émeutiers, mais qui se tait lorsque des hommes pakistanais violent son peuple !
Pascal Gaymard
