Accueil Antibes L’Aigle de Nice 2018 : L’or pour Vallero & Juan

L’Aigle de Nice 2018 : L’or pour Vallero & Juan

La 30e édition anniversaire de l’Aigle de Nice d’Or a révélé son palmarès et à respectivement sacré dans leurs catégories, Jacques Vallero et Fabien Juan grands gagnants de la compétition.

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Tous les ans, l’association Aigle de Nice International, dirigée par le président-fondateur de l’association Alain Bideaux, récompense les plus belles créations artistiques de ses membres (peintures et sculptures) via le fameux Aigle d’Or. Une cérémonie qui s’est déroulée cette année sur le port de Saint-Laurent-du-Var au Club House, en présence du maire de la commune, Joseph Ségura. Une présence symbolique pour une soirée particulière. En effet, cette année l’association a soufflé ses 30 bougies. Un anniversaire qui montre l’ancrage et la pérennité de l’Aigle de Nice dans le paysage culturel azuréen. Durant la soirée, un hommage a été rendu à deux membres de l’Aigle de Nice qui nous ont quitté cette année : Michel Grezes et Erick Garin.

L’Aigle et le Taureau…

Après une édition 2017 qui a vu deux femmes remporter les deux Aigles d’Or (un dans la catégorie peinture et l’autre sculpture) ce sont deux hommes qui sont cette fois-ci récompensés par le jury. La parité est respectée. En peinture, c’est Jacques Vallero qui sort vainqueur. Parmi les oeuvres présentées par l’artiste, impossible de ne pas évoquer l’aigle survolant le Negresco…Pour un trophée de l’Aigle de Nice, comment ne pas y voir un signe ? Au rayon des sculptures, c’est Fabian Juan qui a été déclaré lauréat de la compétition avec un oeuvre monumentale (plusieurs centaines de kg !) représentant un taureau. Deux animaux, le ciel et la terre, une édition qui sacre donc deux artistes à la fois différents et complémentaires. Comme peuvent l’être la peinture et la sculpture finalement. Trentième édition oblige, tous les participants sont repartis avec un trophée. Rien ne semblait pouvoir gâcher la fête. De quoi continuer trois décennies de plus ? C’est en tout cas le mal que l’on souhaite à Alain Bideaux et son équipe…

Andy Calascione

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