Elle s’en prenait à Manuel Bompard, le coordinateur de LFI, qui a admis tranquillement la critique qu’effectivement, il n’y avait pas assez de personnes « issues de la diversité et des quartiers populaires » et « qui ont abondamment voté pour vous » surenchérit Rokhaya Diallo.
Le racisme anti-blanc, une réalité qui tue…
S’en est suivi une altercation entre Charles Consigny et Rokhaya Diallo, le premier estimant « honteux » ce racisme anti-blanc. Et la journaliste de lui répondre avec un mépris avéré : « Pauvre petit Chou… Pauvre petit Charles Consigny qui a été si souvent victime du racisme anti-blanc »… Manifestement pour Rokhaya Diallo, le racisme anti-blanc ne peut pas exister. Ne lui en déplaise, non seulement il existe mais il peut parfois tuer ! Thomas n’avait rien demandé lorsqu’il est mort à Crépol, assassiné par une bande « racisé » venu de Romans sur Isère aux cris : « on va casser du blanc ! » ! Sur un autre cas, celui de Lola, une enfant de 12 ans, tuée par une personne sous OQTF d’origine algérienne. Que dire d’un homme SDF de Centrafrique qui a violé, battu, menacé Claire à Paris alors qu’elle rentrait chez elle chargée de ses courses ? Là aussi Rokhaya Diallo devrait expliquer à Claire que ce n’est pas du racisme anti-blanc, et lui aussi était sous le coup d’une OQTF… A Issy-les-Moulineaux, cet homme d’origine algérienne, multirécidiviste et sous OQTF, qui a violé une jeune secrétaire médicale qui a vécu l’enfer. Rockaya Diallo, veut-elle bien lui expliquer que ce n’était pas la faute de ce pauvre petit être « racialisé » ?
Médiapart et le trop d’élus « blancs » à l’Assemblée Nationale…
Alors oui, les remarques de Rokhaya Diallo sont honteuses, intolérables, inadmissibles. Et oui, Charles Consigny a eu raison de la reprendre, elle qui s’est moqué de lui à l’antenne en expliquant : « Oh, il va pleurer le petit Charles ? ». Ce sont des personnes comme elle qui provoquent la risée de la France à l’extérieur de nos frontières. Ce sont des personnes comme elle qui légitime les actes de ces voyous « racisés ». En outre, Médiapart propose une enquête sur les élus blancs à l’Assemblée Nationale ? Mais à quand une enquête sur les joueurs de couleur en équipe de France ? Cela ne poserait-il pas un problème qui soulèverait l’indignation générale dans les médias ? Sur tous les faits de société (car ce ne sont plus des faits divers au vu de leur répétition et de leur systématisme), sur toutes ces agressions de femmes et enfants, où était Rokhaya Diallo et ses amies d’Oser le féminisme ? Que disait son amie Caroline de Haas à propos des 900 viols à la gare de Cologne le 31 décembre 2015 par des immigrés clandestins ? Que si on voulait lui faire condamner ces exactions, elle serait fasciste car ce serait une double peine pour ces sans-papiers ! Alors oui, Rockaya Diallo, le racisme peut être dans les deux sens ! Et ce racisme anti-blanc s’il est visible, est tout aussi condamnable.
Pascal Gaymard